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HOMMAGE À CHRISTINE ADAM

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Hommage

Christine Adam 1952 - 2023

Diplômée de Penninghen en 1973, Christine Adam est retournée à l’école deux ans plus tard, en 1975, pour y enseigner à son tour et transmettre son amour de l’image, de l’expression graphique du dessin et de la couleur. Peintre, illustratrice, Christine a participé à de nombreux ouvrages édités chez Casterman, Folio Junior, ou Hachette jeunesse notamment, mais également pour la publicité, la presse ainsi que le film d’animation et le jeu interactif éducatif. Durant 47 ans, Christine a accompagné des générations d’étudiants formés grâce à ses cours de techniques graphiques, d’illustration et de narration. Elle aura aidé, encadré et conseillé nombre d’entre eux dans leur projet de diplôme. Par son approche exigeante et bienveillante, elle a su donner à ses étudiants la confiance essentielle pour comprendre leur art, et savoir devenir auteur, travailler leur style et développer leur écriture. Toute la communauté de Penninghen, ses anciens élèves et amis enseignants, saluons sa mémoire et l’héritage qu’elle laisse à l’histoire de l’école.

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Chantalpetit 1973-2023, le livreœuvre

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Publication

Enseignante en croquis durant près de trente-cinq ans à Penninghen, aux côtés de Jacques d’Andon au début, seule de longues années et pendant près de quinze années avec Frédéric Arditi, Chantal Petit publie une monographie, synthèse de sa création.

Chantal Petit a enseigné toutes ces années en tranmettant l’impérieuse nécessité d’être en conscience pour dessiner, avant l’inspiration la compréhension, la connaissance certes, mais d’abord le plaisir de la performance. 

 

Avec Chantalpetit 1973-2023, Chantal Petit publie un livre objet. Cette très belle et riche monographie est le fruit d’un long travail d’édition et de réflexion éditoriale dont la mise en page et la direction artistique ont été confiées à son ancien élève Pierre Hajizadeh, diplômé en 2019. Chronologique, cette œuvre magistrale vient synthétiser cinquante ans de création. Chapitré et séquencé en quarante-six sous-parties pour mieux entrer dans l’œuvre de Chantalpetit, le livre présente le travail de l'artiste, articulé autour de séries toutes différentes, constituées de peintures, de dessins, de sculptures, de vidéos qui s’entrelacent, s'imbriquent et se génèrent les unes les autres dans un tout cohérent qui fait œuvre. Un livre-objet. Une œuvre sur l’œuvre. 

 

«Depuis toujours ce livre m'accompagne et évolue en parallèle de mon œuvre. Comme l'ouroboros, le serpent légendaire de l'éternel retour, je le fais, le défais, le refais sans cesse. Sans filtre, je ne sépare pas l'œuvre de la vie, le livre de l'œuvre.» Chantalpetit

 

Outre la riche iconographie de reproductions, photographies, extraits de vidéos,  l’ouvrage se donne également à lire. Chaque texte vient s'insérer au sein de cette œuvre polymorphe, comme autant de voix amies, donnant des clefs de lecture sur les techniques utilisées, les époques évoquées, les médias multiples convoqués. Ces témoignages éclairés sont autant de chants qui se répondent en échos dans un concert foisonnant mais pas chaotique, harmonieux, fascinant, éblouissant, vibrant et véritablement vivant. 

 

Sous la direction du critique d’art Colin Lemoine qui livre un texte sur l’ensemble de son travail, l’historien de l’art Fabrice Hergott évoque sa peinture, Juliette Laffon propose un entretien autour des vidéos. Chantalpetit, plasticienne, peintre, sculptrice, performeuse signe également des textes originaux qui viennent compléter ce livre-œuvre ainsi que les contributions de fidèles amis Jean-Christophe Bailly, François Barré, Marie-Laure Bernadac, Roger Blin, Jean-Luc Chalumeau, Alain Jouffroy, Eduardo Manet, Philippe Morel, Bernard Noël, André Ruellan, illustres écrivains, poètes, critiques d’art, journalistes, historiens de l’art, metteurs en scène, tous éminents acteurs de la culture et des arts plastiques. 

 

Chantalpetit 1973-2023, Chantal Petit, Colin Lemoine, Fabrice Hergott, Juliette Laffon, Editions Dilecta, 380 p.

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Hugh Wilson enseignant de Brand Thinking en mastère Communication

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Publication

Hugh Wilson, consultant et enseignant à Penninghen depuis plus de quinze ans, publie un guide pratique et ludique en langue anglaise, utile et essentiel pour les acteurs des métiers de la communication et de la création dans une mise en page originale d’Axel Vagnard, diplômé en 2018.

Après dix ans chez L'Oréal et avant de créer sa propre marque, "Handmade", Hugh Wilson a également été directeur de marque chez Clarins, c’est donc en connaisseur des enjeux de la stratégie de marque qu’il enseigne le brand thinking dans la formation Communication à Penninghen en parallèle de conférences, de conseil auprès d’entreprises sur la marque, la créativité et l’innovation. 

 A Brand is an Onion, s’aborde comme un guide à la fois ludique et graphique. Définissant ce qu’est le "branding", la stratégie de marque en français, le livre est composé en 43 chapitres de 7 pages chacun, et a été pensé pour être lu sans linéarité, mais plutôt comme une somme de connaissances en tranches, ou encore comme le titre l’évoque en “pelures d’oignons”. Le graphisme très original conçu par le directeur artistique Axel Vagnard permet ces entrées multiples et capte l'œil du lecteur à chaque page. Les jeux typographiques, les variations de tailles de corps, de graisses, de couleurs agissent comme une partition qui donne à la lecture une musicalité dont les phrases sonnent comme autant de voix qui dialoguent et se répondent. Pas de charte graphique ni de code imposés, à n'importe quelle page, le lecteur est cueilli par une citation, une remarque, une analyse courte, faciles à lire, qui toutes viennent alimenter la réflexion.   

Une marque est un oignon en ce sens que chaque aspect d'une marque est marque, tout comme chaque tranche d'un oignon est indubitablement un "oignon".

Comme le stipule la quatrième de couverture de l’ouvrage, rédigé en anglais, A Brand is an Onion couvre un panel de sujets bien plus large que la plupart des manuels sur l’univers des marques. La culture, la sérendipité et la notion de la temporalité sont tout aussi essentielles à l'image de marque que le management, la créativité et l'esprit d'entreprise.

À la fois pratique et philosophique, A Brand is an Onion aborde des réflexions stimulantes inspirées d'un large éventail de sources, donnant au sujet une touche anglo-française originale. Pour son auteur, l'objectif est avant tout d'ouvrir des perspectives sans jamais donner de réponses toutes faites. Une invitation à découper le livre en tranches...

A Brand is an Onion, Hugh Wilson, design Axel VagnardEditions Escourbiac, 276 p.

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HOMMAGE À ANTOINE BUONOMO

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HOMMAGE

Antoine Buonomo 1956 - 2023

Architecte d’intérieur, peintre, illustrateur, Antoine Buonomo laissera à tous ceux qui ont eu la chance de suivre ses enseignements le souvenir d'un être d'une profonde culture et d'un attachement passionné au dessin. Son émerveillement constant à voir les étudiants se libérer et se révéler par sa pratique sera sûrement le plus bel enseignement qu'il nous laisse.Après plus de vingt ans passés à Penninghen à enseigner la perspective et le dessin qu’il maîtrisait à la perfection, son exigence mais aussi sa grande sensibilité demeureront la plus belle des inspirations. Son audace d’immense dessinateur, de savant décrypteur de l'espace et des tracés régulateurs, aura donné à tous ceux qui ont appris à ses côtés, le sens narratif de l'architecture, l’expression graphique de la relation intime que l'homme entretient avec l'espace.

Sa bienveillance et sa générosité demeureront à l'image de sa passion pour le dessin qui a nourrit son admiration et son attachement pour la création et ceux qui l’incarnent, des plus grands artistes et architectes pour lesquels il a su mettre en image les défis, aux étudiants les plus novices dont il arrivait à faire émerger en chacun les qualités, révélées au fil des exercices et "des gammes” qu'il faisait avec eux chaque semaine. Au travers de sa méthode unique, de ses nombreux disciples, Antoine nous laisse le magnifique et précieux souvenir de savoir, par le dessin, convoquer l'émotion. Il continuera de nous accompagner et habiter nos esprits et celui de l’école.

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Qu’est-ce que la Direction Artistique ?

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direction artistique
PÉDAGOGIE

Définition, histoire, formation, métiers : découvrez l'univers de la Direction Artistique, territoire d’expression des esprits créatifs.

La Direction Artistique au cœur de la création

Intimement liée à la création visuelle, graphique, sonore et numérique, la Direction Artistique vise à concevoir et décliner l’identité d’une d'une marque, d'un produit, d'un événement... à travers la production de différents éléments : charte graphique, logo, site internet, visuels pour les réseaux sociaux, affiches publicitaires, vidéos, plaquettes… Assumer la direction artistique d’un projet consiste à orchestrer la mise en image du message que souhaite véhiculer l’initiateur du projet.

Cela passe par la définition d’un ton, d’un style, d’une ambiance liés à l’identité recherchée. Au sein d’une direction artistique, les équipes de création sont encadrées par un directeur artistique et composées de professionnels de la création (graphistes, motion designer, copywriter, photographes, UX designer...) qui vont collaborer afin de concevoir les contenus permettant de décliner une identité.

L’histoire de la Direction Artistique

L’origine de la publicité remonte aux fresques antiques vantant les mérites de certaines personnalités publiques. Puis, celle-ci a peu à peu revêtu une forme plus réfléchie et plus orchestrée : les métiers créatifs nécessaires à sa production, et parmi eux, celui du directeur artistique, ont alors émergé. Invention de l’imprimerie, envol de la presse magazine et de la photographie : les avancées techniques et les nouvelles technologies de l’information sont venues enrichir la palette créative du directeur artistique. Ces nouveaux outils et moyens d’expression confèrent à cette profession davantage d’envergure et une place centrale dans une société où l’image revêt aujourd’hui une grande importance.

Quelles formations en Direction Artistique ?

La Direction Artistique est enseignée au sein d’une école de création. Les notions et techniques enseignées permettent aux étudiants d’appréhender toutes les facettes des métiers de la Direction Artistique : graphisme, motion design, packaging, photographie, dessin, illustration, digital design, brand thinking, etc. À Penninghen, école d’art et de création basée à Paris, cette formation débute par une année préparatoire en arts appliqués, accessible après le bac. Commune aux trois filières de l’école (Architecture Intérieure, Communication, Direction Artistique), cette première année donne lieu à des enseignements généraux, portant sur l’acquisition d’un socle de connaissances articulé autour des fondamentaux des arts appliqués. Elle permet aux étudiants d’explorer l’ensemble des métiers de la création et des thématiques liées à cet univers, à travers un langage commun et une approche partagée avec leurs camarades et enseignants.

Le programme de l’année préparatoire en arts appliqués porte notamment sur la maîtrise du dessin, de la conception, de l’idéation, de la composition graphique, de même que sur la culture artistique et le langage créatif. Au terme de cette année, les 180 premiers étudiants d’un classement reposant sur le contrôle continu accèdent à la filière de leur choix ; 60 places sont disponibles chaque année pour la formation Direction Artistique. Le parcours de la formation Direction Artistique de Penninghen se déroule suivant un programme pédagogique de quatre années alliant cours théoriques, enseignements en ateliers et stages. Exclusivement encadrés par des professionnels reconnus dans leur domaine et tous en activité, les étudiants apprennent à leurs côtés à définir une identité visuelle.

Au fur et à mesure de leur avancée, les étudiants se professionnalisent :

  • Les 16 semaines de stage qui ponctuent leur 4e année sont l’occasion de préparer leur employabilité, comme leur entrée dans le monde du travail.
  • Le workshop interdisciplinaire proposé avec une marque ou institution renommée et le projet de diplôme, en 5e année, viennent libérer leur autonomie créative et renforcer le volet professionnalisant de la formation Direction Artistique.

 

Workshops et projets de fin d’études constituent des expériences professionnalisantes réalisées dans un cadre pédagogique et dans un esprit de tutorat et d’échanges avec les enseignants qui les encadrent. L’école forme ainsi des créatifs aux savoir-faire recherchés et au style affirmé, prêts à rejoindre les équipes des studios de création, agences de communication, de publicité ou départements marketing d’un grand groupe.

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Les métiers de la Direction Artistique

Après une formation en Direction Artistique, les créatifs intègrent les équipes chargées de définir l’identité d’une marque ou d’une entreprise. Ils imaginent et conçoivent la stratégie de notoriété et de visibilité. Ils participent à la définition du style et de la mise en image et en son de cette stratégie à travers l’élaboration d’une charte graphique, visuelle et sonore déclinable sur une diversité de supports et médias.

Le directeur artistique

Le directeur artistique recueille les attentes et analyse les besoins de ses clients, ainsi que le contexte dans lequel ils s’inscrivent pour leur proposer une stratégie visuelle cohérente. Cet expert de la création encadre des équipes de créatifs afin de concevoir identités visuelles, stratégie d’image de marque et campagnes publicitaires. Ce professionnel peut exercer seul, en indépendant, ou faire appel à d’autres freelances pour concevoir la réponse créative à la mission qui lui est confiée. Il peut également encadrer et animer une équipe au sein d’une agence de création, de publicité ou d’une entreprise.

Les métiers de la création

Les équipes de création varient donc selon les contextes et les supports sur lesquels l’identité est appelée à être déclinée. Elles se composent généralement de plusieurs créatifs aux compétences complémentaires. Parmi eux, se trouve souvent un graphiste, expert en typographie, mise en page et techniques graphiques permettant de concevoir une réponse visuelle à un brief. Le designer packaging intervient, quant à lui, dans la création d’emballages attractifs et fonctionnels.

Les débouchés en création numérique

Dans l’univers de la création numérique, ce sont les motion designer ou encore Ux designer qui interviennent, tandis que l’éditeur et l’illustrateur contribuent à la création d’ouvrages. Photographe, maquettiste, muséographe peuvent également s’intégrer au projet selon sa nature. Quelle que soit la fonction qu’ils occupent, les anciens étudiants diplômés en Direction Artistique de Penninghen sont souvent recrutés dès leur sortie de l’école. Pour beaucoup, ils assument des postes à responsabilités, notamment en gestion de projet. Leur salaire moyen en début de carrière varie entre 36 et 45 K€ brut par an. Accédant à des missions de plus grande envergure au fil des années, les professionnels voient leur salaire évoluer pour atteindre en moyenne en fin de carrière, les 100 à 120 K€ brut annuels.

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Les métiers des arts appliqués

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les métiers d'arts appliqués
PEDAGOGIE

Quelles réalités recouvrent les métiers des arts appliqués ? Définition, formation, missions et salaires : découvrez ces professions appartenant à l’univers créatif.

Définition des métiers des arts appliqués

Les métiers des arts appliqués sont des métiers liés à la création et à la production artistique. Le professionnel des arts appliqués peut intervenir sur différents secteurs et domaines parmi lesquels l'Architecture Intérieure, la Communication ou encore la Direction Artistique. Il existe une multitude de métiers liés aux arts appliqués. Tous relèvent d'une pratique artistique et de création appliquée à un domaine d'activité. Par exemple, le scénographe est un professionnel de l'Architecture Intérieure, l'attaché de presse est un professionnel de la Communication et le Motion Designer est un professionnel de la Direction Artistique. Le professionnel des arts appliqués intervient toujours pour répondre à une commande (soumise par un client au travers d'un brief ou d'un cahier des charges). Flyer publicitaire, design automobile, objets industriels, etc. : les concepts développés à travers les arts appliqués sont destinés à être commercialisés.

La capacité et la force de création requises dans les métiers des arts appliqués s’expriment donc dans le cadre d’un projet défini, aux objectifs annoncés. Mettant sa sensibilité, son expertise, sa technicité et sa créativité au service d’un tiers, le professionnel des arts appliqués intervient au sein d’une agence, d’un studio, chez un annonceur ou sous un statut de travailleur indépendant. A ne pas confondre : les métiers des arts appliqués se distinguent des métiers d'art et d'artisanat dans lesquels la production dépend de l’inspiration d’un artiste. Ce dernier façonne une œuvre, selon son imagination et des idées qui lui sont propres. L’artiste travaille ici en vue de partager, exposer et, éventuellement, vendre le fruit de sa création. Il évolue dans la sphère des galeries, des musées ou encore de la restauration d’art.

Quels métiers exercer dans les arts appliqués ?

Le domaine des arts appliqués est riche d’une multitude de métiers tous en lien avec la création. Ainsi, dans le cadre de la conception d’une exposition par exemple, le scénographe est appelé à travailler avec le décorateur d’intérieur pour la mise en valeur des œuvres, puis pour sa mise en avant avec une équipe de communication et de direction artistique (conception de brochures, d’affiches et parutions dans les médias et sur les réseaux sociaux). S’ils interagissent souvent entre eux pour donner vie à un projet, ils correspondent chacun à des expertises et des missions spécifiques.

Les métiers de l'Architecture Intérieure

L’Architecture Intérieure relève de la création, de l’aménagement et du design d’espaces. Elle propose une conception tout à la fois fonctionnelle et esthétique en lien avec les besoins exprimés par les clients. Le professionnel de l’Architecture Intérieure conçoit et pense des espaces en cohérence avec un besoin spécifique émanant d’un particulier, d’une entreprise, d’une collectivité, etc. Projets d’aménagement, structuration d’espaces, il dessine les esquisses et les plans. Il coordonne et suit la réalisation du projet d’aménagement, depuis le choix des matériaux jusqu’à la gestion des différents corps de métiers et artisans, en passant par l’achat de mobilier.

Parmi les métiers relevant de cette formation, le plus emblématique est celui d’architecte d’intérieur. Une formation en architecture intérieure permet également d’exercer comme éclairagiste, space planner, visual merchandiser, designer, scénographe, décorateur ou ensemblier.

Les métiers de la Communication

Évoluant dans des secteurs variés tels que le luxe, la mode, la culture ou encore les médias, le professionnel de la communication peut travailler au sein d’un grand groupe, en agence de publicité, de communication, en studio de création ou en freelance. Il participe à la mise œuvre de projets marketing, de communication ou évènementiels au service d’un produit, d’une marque ou d’une institution.

Après quelques années d’exercice, le communiquant, qu’il soit concepteur rédacteur, community manager, attaché de presse ou encore média planner, est appelé à évoluer pour occuper des postes d’encadrement plus stratégiques, impliquant la coordination et la gestion d’équipes comme : directeur de marque ; directeur de communication ; directeur stratégique ; directeur marketing.

Les métiers de la Direction Artistique

Le professionnel de la direction artistique est un expert de l’image. Au sein d’une équipe, il a pour mission de créer l’identité visuelle d’une entreprise, d’un produit, ou d’une marque. Son rôle est d’élaborer une stratégie dont découle la création d’une charte graphique, d’un environnement visuel et sonore, etc. Il décline ensuite cette identité sur divers supports et médias. Un diplômé en Direction Artistique peut occuper un poste de graphiste : sur la base d’un brief et d’une charte, ce professionnel élabore une intention graphique et des maquettes, qu’il applique ensuite aux différents supports de communication - affiche publicitaire, plaquette, réseaux sociaux -.

Il peut également débuter sa carrière professionnelle comme directeur artistique, directeur du design ou encore directeur de création. Dans le domaine du digital, les professionnels formés à la Direction Artistique occupent des postes d’infographiste, d’UX designer, mais aussi de motion designer.

Quels salaires dans les métiers des arts appliqués ?

Dans le domaine de la création, comme dans de nombreux autres secteurs, il existe autant de grilles de rémunération que de structures. Secteur public, privé, agence ou studio de création, département créatif d’un grand groupe jusqu’au libéral travaillant en freelance, les situations sont difficilement comparables. Pourtant, il est possible de citer quelques chiffres référence des rémunérations dans ce secteur.

Le salaire annuel d’un directeur artistique en début de carrière se situe en moyenne entre 36 et 48 K€ brut, celui d’un jeune directeur de la communication s’établit entre 35 et 45 K€ brut et entre 35 et 46 K€ brut pour un architecte d’intérieur. Quel que soit leur domaine d’expertise, ces professionnels voient leur salaire augmenter au fil des années, à mesure qu’ils gagnent en expériences et occupent des postes d’encadrement impliquant la gestion d’équipes. Après quelques années d'expériences et selon la notoriété du professionnel et des marques pour lesquelles il travaille, leur rémunération peut atteindre les 100 à 120 K€ brut annuels.

Quelles formations pour travailler dans les arts appliqués ?

Les voies de formation et d’accès aux métiers de la création sont nombreuses : il existe différents cursus d’études dans les domaines des arts appliqués. Il est possible de s’y préparer dès le lycée, en choisissant l’option art. Il est également possible d'opter pour un cursus en passant par une classe préparatoire aux concours des écoles d’art ou encore intégrer directement après le bac une école d’art et de création généraliste. C'est notamment le cas à Penninghen qui dispense une année préparatoire en arts appliqués, véritable année de découverte et de pratique de l’art appliqué dans toutes ses dimensions, permettant de vérifier son goût pour les études créatives et de faire un choix éclairé de spécialité pour la suite de sa formation.

L'école d'art et de création Penninghen, basée à Paris, se distingue par son accessibilité. Désireuse d’offrir à chacun l’opportunité de se former à la création, l’école ne pose pas de conditions d’admission. Pour intégrer l’année préparatoire en arts appliqués, première année commune à tous les étudiants, il suffit de :

  • justifier du baccalauréat,
  • être âgé de 17 ans minimum,
  • déposer un dossier d’inscription.

 

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Toutes les inscriptions sont acceptées dans la limite des places disponibles (300 places sont accessibles chaque année pour l'année préparatoire en arts appliqués). L'année préparatoire en arts appliqués de Penninghen permet d'acquérir les fondamentaux de l'art et de la création à travers une pédagogie alliant théorie et pratique. Réputée pour sa rigueur et son exigence, l’école permet de développer un langage commun entre étudiants et enseignants, futurs pairs professionnels.Cette première année pluridisciplinaire permet de mieux appréhender les trois formations de l’école accessibles à partir de la deuxième année et de choisir plus sereinement son orientation. À l’issue de l’année préparatoire, les 180 premiers d’un classement reposant sur le contrôle continu poursuivent dans la filière de leur choix : Architecture Intérieure, Communication, Direction Artistique.

La formation Architecture Intérieure forme aux métiers de l’architecture intérieure et du design à travers un cursus complet. Vocabulaire, codes et règles techniques, dessin, plan, construction, perspective, outils, maquettes et culture artistique composent le corpus initial qui s’enrichit année après année.Au cours de la formation, les étudiants améliorent leur expertise technique, leur méthodologie et leur maîtrise des différents outils leur permettant, petit à petit, de s’affirmer et de mener à bien un projet d’architecture intérieure dans sa globalité. Aboutissement de leur parcours, ils valident leurs acquis à travers la réalisation d’un projet de diplôme validé par un jury de professionnels extérieurs à l’école.

Proposée en cinq ans ou en deux ans (inscription postbac ou admission après un BAC+3), la formation Communication de Penninghen s’articule autour d’une pédagogie polytechnique axée sur l’acquisition de connaissances stratégiques allant de la définition de business model au management de projet, en passant par le planning stratégique et la communication corporate et commerciale. Design thinking, conception, cultural editing, sketching, direction artistique, international communication, acting : cette formation développe aussi la sensibilité artistique et libère la créativité des étudiants. Des enseignements portant sur l’éloquence, la culture contemporaine et la maîtrise de l’anglais viennent compléter et renforcer leurs compétences personnelles.Bien ancrée dans son époque, la formation Communication de Penninghen forme des futurs directeurs de marque à même d’accompagner les transitions sociétales, écologiques et technologiques.

Troisième formation proposée par l’école Penninghen : la formation Direction Artistique qui donne aux étudiants l’expertise et la capacité d’accompagner une marque ou une entreprise dans la création et le développement de son identité visuelle. Les notions et techniques enseignées concernent différents univers : graphisme, édition, motion design, photographie, dessin, illustration, digital design, brand thinking, international communication… Au cours des 4 années, les étudiants se spécialisent et acquièrent des compétences plus pointues dans leur domaine pour être en mesure d’affirmer leur style créatif et confirmer leur savoir-faire.

Dans chacune des filières proposées par Penninghen, les 4 années de spécialisation sont ponctuées de plusieurs expériences professionnalisantes : voyages d'études à Venise, 16 semaines de stages minimum, des conférences données par des professionnels, et des workshops proposés en collaboration avec des marques ou institutions prestigieuses. Ainsi, après l’année préparatoire en arts appliqués, commune à tous les étudiants, Penninghen forme ses étudiants aux différents métiers des arts appliqués.

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Intégrer une école de création

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école de création Penninghen
PÉDAGOGIE

Quelles sont les formations proposées dans une école de création ? À quels secteurs d’activité, métiers et carrières se destinent les élèves formés dans ces établissements ?

Qu’est-ce qu’une école de création ?

Une école de création est un établissement d’enseignement supérieur formant ses étudiants aux métiers des arts appliqués. Liés à la création, ces métiers se retrouvent entre autres dans les domaines de l’Architecture Intérieure, de la Communication et de la Direction Artistique.

Les formations proposées en école de création visent à :

  • consolider et enrichir le socle de connaissances culturelles des étudiants,
  • développer leur sensibilité et leur curiosité créatives,
  • transmettre des compétences techniques (technique de dessin, de croquis, de perspective...).

 

Grâce aux compétences acquises au cours de sa formation, le professionnel formé en école de création est en mesure de répondre aux attentes exprimées par un client dans un brief, à travers des concepts créatifs et des supports destinés à être commercialisés et diffusés : flyers et objets publicitaires, affiches, logos, plans, design d’objets, etc.

Au travers d'une pédagogie éprouvée depuis plus de 50 ans, Penninghen forme aux métiers de l’Architecture Intérieure, de la Communication et de la Direction Artistique. L’école accompagne l’évolution de ses étudiants par la transmission de compétences professionnelles, de savoirs théoriques, et le développement de leur sens artistique.

Pourquoi étudier la création artistique ?

Les études dans la création s’adressent aux profils ayant une sensibilité artistique, une attirance pour ces différentes formes d’expression qu’elles soient visuelles, graphiques, sonores, audiovisuelles, ou encore liées au design et à la création d’espaces.

Étudier la création artistique pour répondre à une attirance pour la création et les arts

Titulaire d’un bac artistique ou généraliste, l’étudiant en école de création vient chercher des enseignements dans lesquels s’épanouir et assouvir son attirance pour le dessin, le design, la mode, la vidéo, la photographie, de même que l’aménagement d’espace, la conception scénique ou encore, l’édition et la communication.

Étudier la création artistique pour la richesse des enseignements

La formation proposée en école de création est complète. Elle fournit aux étudiants les outils et techniques pour s’exprimer et s’illustrer dans tous les secteurs. Liés à la création, les enseignements dispensés au sein de ce type d’école s’attachent à développer les compétences et codes essentiels pour leur permettre de s’adapter au monde professionnel et s’y affirmer. Culture artistique, sens de l’esthétique et du détail, rigueur, exigence, capacités d’organisation, de management d’équipe et de gestion de projet sont autant de « soft skills » qui font de l’étudiant un professionnel reconnu, compétent et efficace, quel que soit l’univers auquel il se destine.

Étudier la création artistique pour accéder à un large éventail de métiers créatifs

Les métiers permettant aux esprits créatifs de se réaliser sont multiples : architecte d’intérieur, graphiste, illustrateur, directeur artistique, concepteur-rédacteur, muséographe, UX designer, réalisateur, photographe, directeur communication, directeur de marque… Ils forment un large éventail répondant à toutes les aspirations professionnelles et s’adressent à des profils variés. Les domaines d’activité qui recrutent les diplômés à la sortie de leur école de création sont porteurs. De la direction artistique à la communication, en passant par le design, l’architecture et les nouvelles technologies : autant d’univers à forte employabilité où les opportunités de carrière sont nombreuses.

Les formations possibles en écoles de création

Pour intégrer une école de création, il n’est pas nécessaire d’avoir préalablement suivi une formation en art, ni d’avoir choisi une spécialité artistique en première et terminale. Les étudiants de niveau baccalauréat souhaitant s’orienter vers la création peuvent intégrer ce type d’établissement directement après le lycée. Ainsi, à Penninghen, les étudiants commencent par suivre une année préparatoire en arts appliqués. Cette année d’enseignements généralistes explore les bases académiques et techniques des différents univers de la création. Elle permet aux étudiants de se familiariser avec le domaine des arts appliqués et de faire un choix éclairé sur la spécialisation à venir.

Les étudiants affinent ensuite leur orientation en choisissant l’une des trois filières proposées par l’école :

  • Architecture Intérieure,
  • Communication,
  • Direction Artistique.

 

Enseignements théoriques et pratiques composent leur programme durant les quatre années suivantes. Stages, workshops et projet de fin d’études rythment leur parcours académique pour aboutir à l’obtention de leur diplôme. Il leur ouvre les portes du marché du travail dans les domaines de l’architecture intérieure, du marketing, de l’identité, du design, de la publicité, de l’édition, de l’audiovisuel, de la communication numérique, de la direction artistique et de la direction de création…

 

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Travailler dans la création

Les métiers à la sortie d’une école de création

Après l'obtention d'un diplôme en Architecture Intérieure, Communication Direction Artistique, les diplômés peuvent facilement intégrer le monde professionnel de la création.

Les diplômés en Architecture Intérieure sont appelés à intégrer des agences d’architecture, bureaux d’étude ou encore des studios de design d’espace. Leurs missions s’articulent autour de la conception, de l’aménagement et de la structuration d’espaces. La formation d’Architecture Intérieure ouvre à de nombreuses possibilités de carrière comme space planner, éclairagiste, scénographe, designer, décorateur, ensemblier ou encore set designer.

Les professionnels de la Communication diplômés de Penninghen occupent des postes à responsabilités dans la gestion de projets d’identité de marque, d’image, de marketing ou encore dans l’élaboration de campagnes publicitaires pour des institutionnels ou des grands groupes. Ils exercent comme directeur de communication, directeur stratégique ou encore directeur marketing. Selon leurs centres d’intérêt et les stages effectués au cours de leur formation, les jeunes communicants peuvent commencer leur carrière comme concepteur rédacteur, attaché de presse, média planner ou encore community manager.

Les créatifs formés à la Direction Artistique à Penninghen intègrent les équipes chargées de définir l’identité d’une marque ou d’une entreprise. Ces experts de l’image travaillent à élaborer une stratégie de notoriété et de visibilité pour un projet. Cette stratégie passe par l’élaboration d’une charte graphique, visuelle ou sonore déclinable sur une diversité de supports et médias. Infographiste, designer packaging, graphiste, motion designer ou encore UX designer, ces professionnels de l’image assument après quelques années de carrière des postes d’encadrement : directeur artistique, directeur du design ou encore directeur de création. Il leur incombe d’assurer la gestion d’une équipe, la définition d’une stratégie et le pilotage de projets.

L’employabilité et des salaires dans les métiers de la création

Les diplômés de Penninghen évoluent dans les domaines de la culture, de la mode, de la publicité, du luxe, etc. Ils sont recrutés, en règle générale, dès leur sortie de l’école à des postes à responsabilités notamment en gestion de projet. Ils disposent d’une entrée sur le marché du travail facilitée par leurs enseignants. À Penninghen, tous les professeurs sont des professionnels en activité, experts dans leur domaine.

Les stages et workshops effectués au cours de leur formation renforcent également leur employabilité. En début de carrière, le salaire moyen d’un jeune professionnel en création, design d’espace ou encore communication varie entre 35 et 45 K€ brut annuels. En lien avec les missions plus stratégiques au fil des années, leurs salaires évoluent pour atteindre en moyenne en fin de carrière, tous secteurs confondus, les 100 à 120 K€ brut annuels.

Comment intégrer l’école de création Penninghen ?

L'inscription à Penninghen s’effectue hors Parcoursup. Accessible à tous, l’école ne pose aucune condition d’admission, ni prérequis en dessin ou création pour accéder à l’année préparatoire en arts appliqués.

Pour rejoindre l’école, l’étudiant doit justifier du baccalauréat et être âgé d’au moins 17 ans. Il convient ensuite de renseigner un dossier d’inscription. Acceptées par ordre de réception, les inscriptions s’effectuent dans la limite des places disponibles (300 à la rentrée 2024).

Au terme de cette année préparatoire, les 180 premiers étudiants d’un classement issu d’un contrôle continu, poursuivent dans l’une des trois formations proposées par Penninghen. Les étudiants titulaires d’un Bac +3 en Commerce/Marketing ou Art/Design peuvent postuler au Mastère Communication qu’ils effectuent alors en deux ans. À l’issue de l’étude de leur dossier - composé de pièces administratives, portfolio ou business case - et d’un entretien, l’école retient chaque année 28 étudiants sélectionnés pour rejoindre cette formation.

Les étudiants pouvant justifier d’un niveau bac +2 ou bac +3 dans les domaines des arts graphiques ou appliqués peuvent présenter un dossier (CV, lettre de recommandation, copie du diplôme et portfolio) pour intégrer le Mastère Direction Artistique de l’école. Si leur dossier est retenu, ils sont convoqués à un entretien de recrutement. L’admission est possible selon les mêmes modalités en Mastère Architecture Intérieure pour les candidats titulaires d’un diplôme bac +2 ou bac +3 en architecture, architecture intérieure ou design.

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Intégrer une école de communication

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ecole de communication penninghen
PÉDAGOGIE

Les écoles de communication forment à l’image de marque d’un produit, d’une entreprise, d’une institution, etc. Découvrez comment et pourquoi intégrer une école de communication et les métiers liés à ce domaine d’activité.

Qu’est-ce qu’une école de communication ?

Activité par essence transversale, communiquer consiste à faire connaître, transmettre, informer ou encore valoriser. C’est autour de ces savoirs fondamentaux que s’articule le socle commun des formations en école de communication. Pour mieux s’adapter aux avancées technologiques dont celle du développement du digital, les enseignements en école de communication évoluent en permanence. Ils s’enrichissent de nouvelles spécialisations - liées au développement de la communication numérique - sans se départir de la transmission des savoirs et outils liés aux domaines d’expression plus traditionnels (presse, radio, etc.). Au terme de leurs études, les diplômés en communication sont capables de façonner la notoriété et l’image d’une marque, d’une entreprise ou d’une institution. Ils intègrent des secteurs porteurs comme le marketing, la publicité ou encore l'événementiel.

Pourquoi étudier la communication à Penninghen ?

L'école d'art et de création Penninghen, désireuse de rester en phase avec les réalités du monde de la création et d'en pénétrer tous les champs professionnels, a élargi depuis quelques années son offre de formation en créant un Mastère Communication. École d'art pionnière depuis sa création, Penninghen confirme son avant-garde en formant chaque année de futurs professionnels à la stratégie de marque au travers d'enseignements hybrides alliant stratégie créative et business. Le Mastère est proposé en deux ans aux titulaires d’un diplôme Bac +3 en commerce, marketing, art ou design. A l’instar des formations Architecture Intérieure et Direction Artistique, également dispensées à Penninghen, la formation Communication est aussi accessible en cinq ans, en intégrant, après le lycée, l’année préparatoire en arts appliqués.

Les atouts de la formation Communication de Penninghen

La filière Communication proposée à Penninghen se distingue par sa pédagogie centrée sur la création. L’école forme les futurs professionnels de la communication de marque, aux enjeux stratégiques et créatifs de leurs métiers. La formation en Communication s’appuie sur une pédagogie polytechnique et progressive visant à développer connaissances stratégiques, capacités créatives et compétences personnelles.

De nombreux apprentissages constituent le cœur de la formation :

  • Construire et piloter un plan de communication
  • Développer une stratégie de marque et visuelle 
  • Manager une équipe de créatifs
  • Maîtriser le planning stratégique et les clés de la communication corporate.

 

Au-delà de cette expertise en communication de marque, l’étudiant acquiert également une sensibilité créative et artistique grâce à une pédagogie centrée sur la création. Traditionnellement, l'apprentissage en communication nécessite un choix entre une formation axée sur le commerce et/ou la stratégie et une formation centrée sur le design et/ou la créativité. Cependant, c'est la combinaison de ces deux types de compétences qui est la clé du succès. En trouvant le juste équilibre entre tradition et modernité, Penninghen offre ainsi aux futurs directeurs de marque la possibilité de conceptualiser des idées, aussi bien que de les faire aboutir.

La valeur ajoutée du Mastère Communication tient à sa préparation effectuée au sein d’une école d’art et de création. Le volet créatif des enseignements se consacre ainsi au design thinking, à la conception, à la direction de création, à l’écriture et au dessin. La formation est complétée par des apprentissages sur les techniques de présentation, de prise de parole en public, ainsi que la maîtrise de l’anglais.

Une école professionnalisante

À Penninghen, les enseignements sont dispensés par des professionnels experts dans leur domaine et tous en activité. La présence et l’accompagnement de tels intervenants permettent aux étudiants d’appréhender les réalités du monde du travail en les ancrant progressivement dans une réalité professionnalisante.

Penninghen prépare aussi à l’intégration au marché de l’emploi avec, en 4e année, deux périodes de stage obligatoire en entreprise de huit semaines minimum chacune. En 5e année, des workshops avec de prestigieuses marques sont proposés. Véritables projets professionnels interdisciplinaires, ils permettent aux étudiants en communication d’apprendre à s’interfacer en interdisciplinarité avec les autres cursus de l’école, à se confronter à de réelles attentes professionnelles. Ils apprennent à adopter une posture adéquate et à développer dès lors leur propre réseau. Enfin, le projet de diplôme au terme de la 5e année, dernier projet pédagogique et premier vrai projet professionnel, permet aux étudiants d’explorer et libérer leur autonomie créative.

Accompagnés pendant trois mois par un directeur de diplôme, enseignant à Penninghen, les étudiants travaillent sur un projet de création de marque pour lequel ils doivent, notamment, produire un plan de communication. Ce projet fait alors l'objet d'une présentation à un jury de professionnels dont la notation conditionne l'obtention du diplôme. Les étudiants scénographient chacun un stand, qu'ils exposent au jury, mais aussi au public lors d'une exposition de 3 jours, chaque année renouvelée au mois de juin.

La formation est également dynamisée par une ouverture à l’international avec un voyage d'études à Venise en 3e année pour l'ensemble des étudiants de l'école. Interdisciplinaire, ce voyage regroupe les étudiants d'Architecture Intérieure, de Communication et de Direction Artistique, permettant ainsi de leur apprendre à s'interfacer entre professionnels de la création et à développer un langage, une méthodologie et un regard commun.

Les métiers de la communication

97% des étudiants en communication de Penninghen exercent des fonctions en cohérence avec leur formation, dans les six mois suivant l’obtention de leur diplôme, attestant ainsi de la richesse, de la qualité et de la pluridisciplinarité des enseignements de l’école.

Les fonctions qui peuvent être occupées après la formation Communication de Penninghen sont diverses. Il revient au directeur de marque, également appelé brand manager, de définir la stratégie et l’image d’une marque et de ses produits pour mieux les mettre en avant selon des valeurs dans lesquelles le client peut s’identifier. Il gère les aspects marketing et communication de cette marque : il lui appartient aussi d’en assurer le développement comme de gérer les budgets liés à ces différentes missions.

Le directeur de la communication joue aussi un rôle central dans le développement d’une marque. À travers l’image et les mots, il met en avant une marque en créant des contenus à forte valeur ajoutée. Garant de la notoriété et de la visibilité de l’entreprise, il interagit avec les autres équipes de l’entreprise (commerciale, administrative, financière, RH). Avec les équipes créatives, il définit, conçoit et pilote un plan de communication en phase avec les objectifs de l’entreprise.

Dans l’univers marketing, le directeur marketing travaille, quant à lui, à la stratégie de visibilité et de notoriété d’une entreprise. Il est à l’affût des tendances du marché et des évolutions de la concurrence pour mieux répondre aux attentes de ses clients et positionner les produits ou marques qui lui sont confiés. Il s’assure de la bonne gestion des actions marketing de son équipe et du respect du budget déterminé.

Il existe de nombreux autres métiers dans le secteur de la communication : social media manager, directeur de l’innovation, concepteur rédacteur, attaché de presse. S’ils gravitent tous dans le même univers, ils nécessitent des expertises différentes. Complémentaires, les professionnels de la communication mettent leurs savoir-faire en commun pour mener à bien les projets qui leur sont confiés.

Comment intégrer l'école de communication Penninghen ?

À Penninghen, l’accès à la filière Communication peut se faire après le bac ou après un Bac +3.

Ouverte à tous, l’inscription en année préparatoire en arts appliqués (première année) à Penninghen ne repose sur aucune condition d’admission : ni concours, ni étude de dossier, ni entretien. Aucun prérequis en dessin ou création n’est nécessaire pour accéder à l’année préparatoire en arts appliqués, commune à tous les étudiants.

Pour intégrer la prépa en arts appliqués, les futurs étudiants doivent renseigner un dossier d’inscription. Toutes les inscriptions sont acceptées par ordre de réception et dans la limite des places disponibles en première année, à savoir 300 pour la rentrée 2023. L’inscription à Penninghen se fait hors Parcoursup. Souhaitant offrir à tous l’opportunité de se former à la création et aux arts appliqués, l’école demande seulement de justifier d’un niveau baccalauréat et d’avoir 17 ans minimum.

La première année conditionne le passage en année supérieure. Selon leur classement généré par un contrôle continu, les 180 premiers étudiants du classement choisissent leur filière de spécialisation : 60 d’entre eux pourront poursuivre en 2e année dans la filière Communication.

L’admission en Mastère Communication est ouverte à toute personne justifiant d’un Bac + 3 en Commerce/Marketing ou Art/Design. Elle repose sur l’étude du dossier et un entretien. Les dossiers se composent, en plus des pièces administratives, d’un portfolio pour les élèves issus d’une formation en art et création, ou d’un business case pour ceux provenant d’une filière business.

Seules 28 places sont disponibles pour cette formation : une session d’admission se tient chaque mois, de janvier à juin.

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Luc SCIBERRAS, PROMOTION 2022

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ALUMNI

À peine un an après l'obtention de son diplôme, Luc Sciberras major de promotion 2022 en Architecture Intérieure, nous parle de sa riche expérience professionnelle, de ses projets futurs et de ce qu'il retient de son passage à Penninghen.

Pourquoi as-tu choisi Penninghen ?

J’étais étudiant en prépa artistique à Bruxelles où je vivais depuis trois ans. Après le bac, je savais que je voulais faire quelque chose d'artistique mais je ne savais pas quoi exactement. Ma famille n’est pas issue du secteur de l’art, je ne savais pas dans quoi je me lançais. Cette prépa en Belgique c’était un éveil créatif pour moi mais je me suis vite retrouvé dans une zone de confort, je voulais changer. J’ai regardé les écoles en fonction des classements en France et le nom de Penninghen ressortait. Je n'en avais jamais entendu parlé.

Je suis venu à Paris pour voir l’école et je ne sais pas comment mais je me suis retrouvé dans une épreuve de tests avec des élèves de prépa où il fallait dessiner un modèle vivant. Je pensais que j’étais en train de passer un concours d’admission. Ça m’a au moins permis de découvrir les ateliers, le quartier… et ça m’a plu ! L’école m’a rappelé quelques jours plus tard pour confirmer mon inscription et en cinq jours j’ai décidé de quitter Bruxelles pour Penninghen. J’aimais bien mon école en Belgique mais j’avais un peu l’impression, de manquer de perspective. J’avais aussi peur de tout quitter. Je me souviens en avoir parlé à mon père qui m’a dit “dans la vie il ne faut pas avoir peur de bouger” et je pense que j’avais besoin de son avis, de son accord à ce moment-là.

Quels souvenirs gardes-tu de ton année préparatoire en arts appliqués ?

Honnêtement, le changement recherché était au rendez-vous, c'était beaucoup d'un coup. Tout était nouveau, l'école, la vie, la ville, ça demandait un effort d'adaptation général. Je sortais d’une année où j'avais mes repères, des habitudes. J’avais besoin d’être mis à l'épreuve. Je me souviens de cette dynamique de travail, cette envie de bien faire pour chaque projet. Je n’avais que très peu d'ami, du moins assez peu de temps à leur consacrer... Non pas parce que je suis asocial mais je m'étais mis dans une bulle de travail.

Qu’en retiens-tu ?

La prépa m’a appris à être rigoureux dans le travail, à mettre certaines choses de côté et à m’organiser. Je ne comptais pas mes heures pour rendre des choses créatives mais je n’ai jamais fait de nuit blanche de toute ma scolarité à Penninghen. Je ne me suis jamais laissé submerger par le travail. C'était peut-être là l'une des limites principales que je me fixais. J'aime épargner ma liberté, même à rude épreuve. Vraiment Penninghen, enfin surtout la prépa, ça a été une expérience, qui m'a beaucoup appris. A l'âge où l'on se construit, ces années sont importantes, on en apprend notemment beaucoup sur soi-même.

Comment l’école apprend à développer une idée ?

Ça dépend du caractère de l'élève je pense. Moi je suis assez solitaire dans ma démarche de travail, je n’avais pas beaucoup d’interaction avec les enseignants mais celles que j’avais avec eux étaient importantes pour moi car je suis très sensible au langage, aux mots. Mais il y a des élèves qui aiment être accompagnés plus constamment. C’est un risque en soi, il y a des projets que j’ai choisi de complètement recommencer parce qu’une fois présentés au prof, ils ne me convenaient plus. Ce n'est pas facile d'accepter les remarques mais être capable de remettre son travail en question comme défendre ses idées font partie du processus créatif.

As-tu gardé cette habitude de travailler seul ?

Oui, ça a été mon mode de fonctionnement pendant les cinq années. Jusqu’au bout et même jusqu'à mon diplôme lors de mes interactions avec mon directeur de diplôme, Anthony Fitoussi. C’est quelqu’un de respectueux et très observateur, il s’adapte à ses élèves. Il savait comment je fonctionnais, il m’a accordé beaucoup de confiance car il savait très bien que je n’étais pas le genre d’étudiant qui préférait un suivi trop "hebdomadaire". Je lui présentais mon projet à chaque étape importante. Avant de dessiner j’écris énormément, j’aime beaucoup écrire pour penser à mon sujet. Il accordait de l’importance, comprenait et respectait cette démarche là.

Tu savais dès le départ que tu voulais faire de l’Architecture Intérieure ?

Non, en prépa j'étais un peu attiré par la formation Direction Artistique aussi. J’ai hésité mais je ne regrette pas d’avoir choisi la formation Architecture Intérieure. Je trouvais ça plus concret, le côté abstrait de la Direction Artistique me faisait un peu peur. Le travail de volume et d’espace m’intéressaient vraiment, j’avais peur d’être limité dans mon rapport à l'espace en Direction Artistique.

Je savais que de toute façon je pourrais toujours faire des choses artistiques même en Architecture Intérieure. Je me suis dit que j’aurai plus de facilité à traduire une émotion si on m’accorde un espace à revisiter, aménager, décorer ou conceptualiser plutôt qu’au travers d’un logo ou d’une affiche comme la DA ne se limite pas à ça, c'était l'idée. Mais j’aimais beaucoup les deux filières. Je pense que si aujourd'hui j’ai besoin de donner une direction artistique à un projet, je le ferais en étroite collaboration avec un ancien de l'école !

Comment résumerais-tu tes quatre années d'Architecture Intérieure ?

Déjà je dirais que cinq ans c’est très long et très court en même temps. C’est bizarre de dire ça, c’est le genre de phrase qui m’aurait énervé à l’époque en plus. C’est long parce que chaque année est importante, chaque année sert la suivante et c'est court parce tout s’enchaîne et file et lorsque l'on se retourne sur l'expérience générale c'est qu'elle est déjà derrière, terminée...

Pourquoi recommanderais-tu de choisir Penninghen pour se former en Architecture Intérieure ?

Je recommanderais le cursus parce que c’est complet. Pour un élève qui ne sait pas exactement ce qu’il veut faire en entrant à Penninghen, il y a de grande chance qu’il trouve sa voie, ses passions et si à la fin de sa scolarité il hésite encore c’est que c’est bon signe, c’est qu’il a encore plein de chose à explorer. Je suis quelqu’un qui fonctionne par choix et je suis fidèle à mes choix mais finalement, ça ne m’a pas fait de mal d’avoir une école où il faut viser large.

L’image de l’école est positive pour le dessin notamment, on est réputés pour être de bons éléments, pour notre organisation et notre capacité à travailler. La qualité des professionnels enseignants, des intervenants extérieurs, tout le réseau de l’école… Tout ça c’est un gros point positif. Pour moi c’était un complexe de ne pas avoir de réseau professionnel à l’époque. Lorsqu’il fallait trouver mon stage par exemple, j'avais aucune ou très peu de connexion. Au final c’est mieux car j’étais obligé de chercher et je me suis constitué mon propre réseau petit à petit.

Considères-tu que la pédagogie de Penninghen va au-delà de la théorie ?

Ça dépend de chaque cours et de chaque enseignant mais dans l’ensemble, et c’est ce qui est agréable, ils nous laissent la liberté de créer des choses. La technique peut parfois nous faire défaut mais on apprendra sur le terrain.

Un an après ton diplôme, où travailles-tu ?

Je travaille avec l'architecte Charles Zana, qui faisait partie des membres du jury de ma promotion. Il ne m’a pas évalué mais il était venu voir mon diplôme, parce qu’il avait eu de bons échos et c’est quelqu’un d’assez curieux. J’avais déjà reçu plusieurs propositions donc je voulais voir comment ça se passait en entretien avec Charles Zana et l’échange qu’on a eu m’a plu donc j’ai accepté son offre. Aujourd’hui je travaille en freelance dans son agence. J’ai préféré le statut d’indépendant plutôt que le salariat car je ne voulais pas me sentir bloqué par un contrat. Je voulais me sentir libre je peux poser des jours à ma convenance, je n'en abuse pas. Charles est assez souple là-dessus, il sait que les jours où je suis à l’agence je suis complètement investi et efficace.

 

Quel est ton rôle au sein de l’agence ?

J’ai un rôle un peu particulier, je suis à la créativité de plusieurs projets. Quand il y a un concours par exemple, je m'occupe de tout ce qui concerne la présentation, tout ce qui est graphique. Parfois je suis missionné sur un projet pour aider sur la conception des chefs de projets. Il utilise et met à profit tout ce qu’il a aimé dans mon diplôme et ce qu’il a retenu de sa première interprétation. Il a vu que j'étais assez libre dans ma créativité, que j’aimais bien penser des choses nouvelles, des concepts… C’est quelque chose qui me plait donc il le met à profit.

Je travaille sur plein de projets différents en même temps. Je fais aussi bien des plans que des moodboards que des présentations clients. En ce moment par exemple, je travaille sur un super projet de collection de faïences italiennes qui vont être exposées à Miami. Je travaille en direct avec la manufacture. Je m’y suis rendu d’ailleurs à Florence, pour valider les coloris et les prototypes et je vais à Miami ce mois-ci dans la continuité du projet qui semble faire succès.

Je trouve ça super que Charles me fasse confiance et me donne accès à ce projet prestigieux, c’est valorisant. Je ne peux pas travailler en ayant quelqu’un sur mon épaule tout le temps, c’est une question de tempérament. Je n’aime pas qu’on me dise quoi faire, j’aime bien comprendre les choses par moi-même. On fonctionne comme ça avec Charles.

Je travaille actuellement aussi pour Vuitton, pour une marque de bijoux et aussi sur u “The salon”, à New York, qui sera une expo type le PAD. Charles fait appel à moi pour plein d'autres choses en parallèle, l’édition de son livre autobiographique par exemple. À chaque fois je m'immisce dans un projet je propose, je conceptualise et après je passe à autre chose. J’aime bien faire plein de choses en même temps, c’est ce qui me plaît, ça me rappelle l’année préparatoire où j’avais mille projets à gérer. À ma demande récemment, Charles projette de me confier en parallèle un projet d'architecture afin d'approfondir ma méthodologie et la technique, le monde du chantier....

Quelle place laisses-tu à la création dans ton travail ?

Dès que je suis en vacances je pense beaucoup à tout ce que je veux et pourrais faire même quand je suis en vacances, j’ai toujours besoin de penser, d'écrire, d'imaginer, de créer… J’ai toujours besoin de ça. Idéalement j’aimerais être artiste designer, concepteur et créer plein de choses mais il me faut du temps, c’est pour ça qu’un jour je pense monter mon studio.

Comment t'organises-tu ?

Je ne veux pas me lancer tout feu tout flamme, je veux conserver un équilibre entre ma vie perso et ma vie pro. Je dois trouver mon organisation et m’imposer une rigueur. La meilleure expérience de toute ma vie a été la préparation du diplôme : trois mois où chaque jour j’avais ma liste de choses à faire, ma journée pour moi, dix heures où j’étais seul à m’organiser et je savais très bien que je n’allais pas rien faire. J’étais libre. Durant cette préparation du diplôme je faisais plein de choses en parallèle : des coachings sportifs sur les quais de seine, je travaillais dans une chocolaterie 3 jours par semaine et je préparais mon diplôme. J’ai un tempérament relativement calme mais j’ai énormément d’énergie. Je canalise mon énergie avec le sport mais j’ai aussi besoin de beaucoup réfléchir.

Penses-tu t’être révélé en faisant Penninghen ?

Certainement ! Chaque année joue un rôle, nous apprend quelque chose, l’apprentissage est graduel et j’ai fini en me sentant à l’aise en 5e année, avec l'envie de bien faire et de profiter même. Il y a un effet crescendo. J’ai gagné en maturité et me suis calmé. J’ai appris à m’exprimer devant une audience, à présenter des projets à révéler plus sereinement ce qui depuis petit surgissait plus fort que moi ou maladroitement.

Que retiens-tu de la journée de jury de diplômes ?

C’est un exercice incroyable ! Devoir faire huit fois la présentation de ton projet à des gens très qualifiés et professionnels. Huit fois sans flancher, à essayer de présenter quelque chose de personnel, à y croire pour convaincre la personne face à toi. C’est un exercice complexe, une performance ! Le diplôme m’a mis dans une dynamique où même une fois fini, j’avais encore envie de travailler, j’avais envie de faire plein de choses. Aujourd’hui encore, je travaille en agence mais je ne veux pas me sentir comme un oiseau en cage. C’est pour ça que je suis obligé d’avoir des projets personnels à côté, non pas pour gagner ma vie mais la construire, c'est pour moi, définir mes perspectives d'avenir pour mieux les atteindre.                                   

Quels regards portes-tu sur les diplômes de cette année ?

C’est une promo dont j’étais proche donc ça m’a rendu très heureux pour eux. Je me suis senti assez naturellement investi. Ils étaient tous unis, c’était beau à voir. J’étais content de revenir dans l’école, comme je le suis d'ailleurs de faire ce témoignage. De la même façon, que je suis heureux des cours avec Charles Zana aux 5e année. Je garderai toujours un bon souvenir de l’école, de ce qu’elle m’a permis de vivre, de ce qu’elle m’a appris sur moi, sur les autres, de mes rencontres...

Et si tu avais de futurs conseils à donner aux futurs diplômés d’Architecture Intérieure ?

Je leur dirais de conserver leur touche personnelle, ne pas se laisser influencer, de défendre leur caractère. Après tout, c'est ce qui fait l'unicité de chacun. Ça n’est pas de la prétention car il faut rester humble mais il faut aussi savoir se mettre en avant, assumer et ne pas avoir honte de ce qu’on à envie de créer et de proposer. Il faut savoir faire sortir ce qu’il y a en nous, sans honte, et prendre du recul pour savoir et comprendre comment c’est perçu.

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Pourquoi faire une prépa en arts appliqués intégrée ?

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prépa en arts appliqués
PEDAGOGIE

Après le lycée, diverses options s'offrent aux bacheliers désireux de poursuivre leurs études dans le secteur de l'art et de la création. Parmi ces options, l'année préparatoire en arts appliqués. Découvrez les avantages de cette formation.

Qu’est-ce qu’une prépa en arts appliqués intégrée ?

L’année préparatoire en arts appliqués est accessible dès la fin du lycée. Il s’agit d’une première année intégrée à un cursus artistique et/ou créatif.

Elle a pour objectif de :

  • familiariser l’étudiant avec le domaine des arts appliqués,
  • acquérir les notions fondamentales et méthodes de travail indispensables sur lesquelles bâtir la suite de son parcours d'études en arts et création,
  • découvrir sa passion, développer son potentiel créatif et sa culture artistique,
  • valider son choix d’orientation.

Le programme d’une prépa en arts appliqués intégrée porte sur le dessin, le sketching, le croquis, le langage graphique, le travail de maquette, la culture artistique, l’histoire de l'art, et l’apprentissage de l’analyse des œuvres.

Prépa intégrée vs prépa aux concours des écoles d’art : quelles différences ?

Dessin, perspective, couleurs, volume, peinture, mais aussi histoire de l’art : les contenus des programmes et des enseignements de la prépa intégrée sont assez semblables à ceux d’une classe préparatoire aux concours d’entrée aux écoles d’art.

A la différence près que les étudiants préparant les concours travaillent en vue de réussir le concours d’entrée dans une ou plusieurs écoles de leur choix. La classe prépa aux écoles d’arts s’articule essentiellement autour de la préparation de concours blancs qui jalonnent l’année.

S’ils échouent à intégrer une des formations demandées, les étudiants peuvent, selon leurs résultats en cours d’année, obtenir les équivalents ECTS leur permettant de valider une L1 en arts.

L’année préparatoire en arts appliqués intégrée peut également permettre de valider le niveau L1. Formation à part entière, elle prépare au cursus de l’école, permet une véritable mise à niveau et l’acquisition de compétences inscrites dans une démarche cohérente et complète.

L’accès aux classes prépa aux concours des écoles d’art est sélectif. Il fait l’objet d’un choix rigoureux qui passe d’abord par Parcoursup. Seuls 10 à 20% des candidats sont retenus. Leur admission est conditionnée à l’étude de leurs résultats scolaires, au passage d’un entretien de motivation et à la présentation d’un portfolio de travaux personnels.

À l’inverse, à Penninghen, l'inscription en année préparatoire en arts appliqués intégrée est plus ouverte. Accessible à tous les étudiants désireux de se former à l'art et à la création même sans expérience en dessin ou création. L'intérêt de cette année est de bénéficier d'une formation pour se préparer à sa poursuite d'études en art et création.

Télécharger la brochure

L’avantage d’une prépa intégrée

L’année de prépa intégrée permet de :

  • se familiariser aux domaines des arts appliqués ;
  • s'initier à la création;
  • confirmer et conforter son choix d'orientation;
  • acquérir les techniques fondamentales de l'art et de la création.

 

Cette première année complète et généraliste dans les arts appliqués permet à tous les étudiants de s'initier à l'Architecture Intérieure, la Communication et la Direction Artistique.

À l'issue de cette première année, tous sont ainsi en mesure de faire un choix éclairé quant à leur orientation et poursuite d'études à Penninghen. L’étude des arts appliqués lors de l’année préparatoire s’effectue à travers des enseignements théoriques et pratiques, via de nombreuses heures de dessin en atelier, de croquis au musée, en plein air ou chez soi.

Elle requiert une grande curiosité et une capacité à travailler avec assiduité et constance. Une prépa intégrée permet donc de se familiariser sereinement et progressivement avec l’école, son environnement de travail et sa pédagogie afin d'acquérir la méthode et les savoir-faire indispensables pour poursuivre et réussir ses études dans les meilleures conditions.

L’année préparatoire en arts appliqués à Penninghen

Première des 5 années composant la formation de Penninghen, l’année préparatoire en arts appliquée est fondamentale. Pluridisciplinaire, elle aborde les arts appliqués dans toutes leurs dimensions et confère aux étudiants un socle de connaissances solide sur lequel construire leur cursus d’études supérieures en Architecture Intérieure, Communication ou Direction Artistique.

Au cours de cette première année, les étudiants vivent leur passion au quotidien à travers les nombreuses heures de pratique et en se familiarisant avec les différents savoirs et techniques enseignés à Penninghen.

Le programme pédagogique de la première année s’étend sur 30 semaines. Axé sur l’observation par le dessin, la maîtrise de la conception et de l’idéation, celle de la composition graphique et dans l’espace, il s’articule autour de cours et d’ateliers portant sur les disciplines suivantes : langage et création, langage espace, dessin d’observation, langage graphique, croquis et culture artistique. Encadrés par une équipe de 20 enseignants, tous professionnels en activité en parallèle de leurs enseignements, les apprentissages sont transmis sous la forme de cours théoriques, mais également de cours pratiques en atelier.

Les étudiants sont répartis en 4 ateliers : un format propice à forger des liens et à renforcer l’esprit de cohésion. L'année préparatoire en arts appliqués de Penninghen est ouverte à tous ! Marque de fabrique de l’école, elle est accessible sans distinction de niveau. Elle accueille les étudiants de tous horizons justifiant du niveau baccalauréat, laissant à tous l’opportunité de suivre des études d’art et de création. Les 300 étudiants de prépa intégrée disposent d’une année pour choisir leur orientation. Ils sont évalués régulièrement, au fur et à mesure de leur progression.

C’est sur la base du travail fourni, évalué en contrôle continu, qu’est généré un classement conditionnant leur passage en 2e année. Les 180 places de 2e année se répartissent entre les 3 filières de l’école (Architecture Intérieure, Communication, Direction Artistique), à hauteur de 60 étudiants par filière.

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