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Let's dance !

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Violette Vincent architecture danse
Promotion 2018

Violette Vincent est major de promotion 2018 en architecture intérieure, distinguée pour son diplôme “Let’s dance !” sous la conduite d’Amandine Chézeau, qui interroge les lieux de danse et le rapport au public sur l’existence d’espaces scéniques. Quelle scène pour quelle danse, pour quel public ?

Y a-t-il des lieux nécessaires et propres à la danse  ? Quelles sont les exigences du danseur et des compagnies en matière de lieu, pour la présentation de leur œuvre  ? Qu’en est-il du public ? À l’arrivée du ballet au XVIe siècle, la danse s’est insérée dans des lieux de représentation existants : le théatre à l’italienne et l’opéra, qui imposent leur structure frontale. La danse dont l’art s’est développé de façon autonome depuis le début du XXe siècle, n’a pas fait l’objet d’une réflexion architecturale qui lui serait propre. Au même titre que le ballet, la danse contemporaine, le hip hop, les danses folkloriques ou de salon devraient trouver leur propre lieu de représentation, un lieu qui s’enclenche, un lieu dans lequel le public trouve sa place, dans lequel il peut se déplacer, se rapprocher, participer. Depuis l’avènement de la danse moderne, les chorégraphes essayent de sortir de la salle de représentation. Aujourd’hui certains projets esthétiques désirent sortir du studio, investir d’autres lieux et exigent une réelle interaction avec le public. Quel serait un lieu idéal pour la danse ?

Violette Vincent architecture danse

Violette Vincent architecture danse
Violette Vincent architecture danse
Violette Vincent architecture danse
Violette Vincent architecture danse

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The Googlicism

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Layla Gras google direction artistique
promotion 2018

Layla Gras, major de promotion 2018 en direction artistique, a été distinguée pour son diplôme “The Googlicism” sous la conduite d’Éric Pillault, proposant une approche critique et fascinante de la conduite qu’impose Google.

Pourquoi Google nous fascine-t-il autant ? Peut-être parce que la mission originale de Google est : « d’organiser l’information du monde et de la rendre universellement accessible et utile » Depuis sa création, Google a cherché à relayer toutes les d’informations  de l’univers. Google voit tout, sait tout, il est tout puissant. En fait, tout comme Dieu, Google est immatériel, omniprésent et omniscient. L’usage intentionnel du terme Dieu est provocateur mais le statut de ce moteur de recherche et plus lagrement de cette compagnie est tel que je suis tentée d’en examiner l’aspect divin. Google pourrait-il être une religion ? 

Et si Google était une religion, à quoi ressemblerait-elle?

Gras Layla Google religion edition
Google photographie direction artistique
Google goodies direction artistique
Google edition livre
Google edition direction artisitque
Google livre edition

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Objets connectés

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Puissance 3, Penninghen, ISEP, Stanford
PÉdagogie

Les étudiants de 4e année d’architecture intérieure d’Emmanuel Cairo et Christophe Barbier se sont penchés sur un projet innovant dans le domaine du numérique et des objets connectés.

Questionnant ainsi les problématiques environnementales, de sécurité routière, nos modes de consommation, la santé. Puissance 3 est un partenariat pédagogique mis en place depuis plusieurs années à Penninghen qui rapproche durant un semestre des étudiants de trois domaines bien spécifiques dans le cadre de leurs formations. Constitués en équipes mixtes issus des trois grandes écoles associées : ISEP, Penninghen et Stanford, les étudiants se concentrent sur des projets collaboratifs innovants. Au sein de chacune de ces équipes, chacun apporte ses connaissances, ses savoir faire et son expertise afin de réaliser le produit (ISEP), de rendre son design cohérent et esthétique visuellement (Penninghen) et d’en assurer la dimension marketing internationale et participer à la réalisation technique (Stanford). Puissance 3, donne ainsi l’occasion aux étudiants de Penninghen de démontrer leur ouverture d’esprit, de créativité et de capacité d’adaptation dans un contexte pédagogique innovant. Les étudiants bénéficient d’apports théoriques et pratiques sur le design numérique dispensés à Penninghen, mais aussi sur la création d’entreprise, enseignés à l’ISEP.

Puissance 3, Penninghen, ISEP, Stanford
Puissance 3, Penninghen, ISEP, Stanford
Puissance 3, Penninghen, ISEP, Stanford
Puissance 3, Penninghen, ISEP, Stanford
Puissance 3, Penninghen, ISEP, Stanford

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Helen Eastwood #penninghen05

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Helen Eastwood lumiere architecture
exposition

Deux ans après son diplôme d’architecture intérieure en 2005, Helen Eastwood s’est associée à un ingénieur chercheur venu du jeu vidéo pour fonder LNLO, laboratoire d’art et de design électronique.

Helen Eastwood et Laurent Brun conçoivent des objets décoratifs innovants ainsi que des installations artistiques variées, éphémères ou parfois pérennes. Leurs compétences complémentaires les conduisent à explorer un territoire artistique original et transdisciplinaire, à la croisée de la sculpture, de l'image et des performances numériques. Animées, interactives et lumineuses, leurs réalisations multimédia captent l'œil et captivent tous les autres sens : véritables expériences sensorielles qui conjuguent art et science. À grande échelle, leurs installations, réalisées sur mesure sont soumises aux contraintes des sites choisis. Le dispositif s’appuie sur la lumière (Led, vidéo-projection...), elle-même articulée à des processus sonores et interactifs. Les possibilités inattendues permises par le numérique donnent à l’ensemble une expression artistique originale dans laquelle les touches lumineuses produites viennent “peindre de lumières” l’architecture ainsi mise en valeur, perturbant les notions d'espace et de temps. Pour leur récente intervention à la prestigieuse Fête des Lumières de Lyon, à laquelle ils participent régulièrement depuis 10 ans, Helen Eastwood et Laurent Brun, se sont adjoints l’expertise de l’éclairagiste Daniel Knipper, pour réaliser une première : superposer projection et éclairage, grâce à un codage et une programmation spécifiques. Ce projet, Unisson, vient d’ailleurs d’être repris et décliné pour le Festival des Lumières de Jérusalem du 27 juin au 5 juillet derniers. De Paris (pour Nuit Blanche), à Shenzhen, Beijing, ou Berlin, les installations lumineuses de LNLO recomposent le temps et l’espace dans une approche poétique du monde, impermanent, grâce aux technologies, elles-mêmes en constante évolution.

lnlo.net

architecture lumière Helen Eastwood

Helen Eastwood architecture lumiere
Helen Eastwood architecture lumiere credit lnlo
Helen Eastwood architecture lumiere credit anthony heng
Helen Eastwood architecture lumiere credit lnlo
Helen Eastwood architecture lumiere credit lnlo

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Astrid de La Forest #penninghen85

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Astrid de la Forest
almuni

Élue en plénière à l’Académie des Beaux-Arts en juin 2016, Astrid de La Forest est la toute première femme graveur élue à l’Académie.

Elle occupe désormais le fauteuil de Louis-René Berge dans la section de Gravure à la suite d’une cérémonie officielle qui a marqué son installation au sein de l’Académie des Beaux-Arts le 27 juin 2018.

Diplômée de Penninghen en 1985, Astrid de La Forest a d’abord travaillé auprès de l’équipe de décors du théâtre des Amandiers à Nanterre dirigé alors par Patrice Chéreau. Illustratrice pour de nombreux médias, elle a couvert de grands procès, dont ceux de Paul Touvier, ou encore ceux d’Action directe, en tant que dessinatrice judiciaire. Formée à l’estampe auprès de Yvonne Alexieff, Astrid de La Forest a poursuivi son apprentissage des techniques et des pratiques de la peinture puis de la gravure. Utilisant les méthodes de l’eau-forte, l’aquatinte, la pointe sèche, ou le carborundum, Astrid de La Forest a inventé de nouvelles techniques de gravure, développées au fil des années, créant de très grands formats de gravures et de monotypes. Régulièrement exposée en Suisse, en Allemagne, en Belgique et à Paris, elle a aussi enseigné plusieurs années au sein de l’équipe d’arts plastiques de l’École Nationale Supérieure d’Architecture (ENSA) de Paris-Belleville.

Galerie La Forest Divonne, 12 rue des Beaux-Arts, Paris VIe
Exposition collective (Arthur Aillaud, Bernadette Chéné, Astrid de La Forest, Alexandre Hollan et Anna Mark.)
Galerie Documents 15, 15 rue de l’Échaudé, Paris VIe
Exposition rétrospective et catalogue raisonné en co-édition avec les "éditions des Cendres"
Du 14 juin au 28 Juillet 2018

 

Grande_montagne_eau_forte_aquatinte_60x50
Tryptique pins parasols 2014
Astrid-de-La-Forest-Sans-titre,-2018-Monotype-Dimensions-à-la-planche---20-x-18,3-cm
Astrid-de-La-Forest-Îles-I,-2016-Eau-forte-et-aquatinte-en-couleurs-Dimensions-à-la-planche---12,8-x-17,5-cm
Astrid-de-La-Forest-L'Oiseau-mort,-2017-Eau-forte-sur-Japon-appliqué-Dimensions-à-la-planche---15-x-24,5

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Toro & Liautard #penninghen12

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toro et liautard architecture intérieure
Alumni

Diplômés en 2012, Hugo Eynius Toro, major de promotion, et Maxime Liautard ont étudié l’architecture intérieure à Penninghen avec une curiosité commune d’apprendre et de comprendre toujours davantage.

Au cours de leurs expériences durant leur formation, ils ont développé leurs compétences et renforcé leurs acquis à Melbourne d’abord puis à New-York cumulant connaissances et références. Après Penninghen, Hugo Toro passe un Master d’architecture à l’Université de Vienne et Maxime Liautard est engagé auprès du Studio Ko. Ils fondent en 2016 leur agence Toro & Liautard, fusion de leurs complémentarités. Le duo, très suivi par la presse, combine une approche technique inspirée par la structure et les lignes des espaces,  revendiquée par Hugo Eynius Toro, alliée à la vision de Maxime Liautard qui va puiser dans les formes et les matières. Une idée commune anime ces deux architectes : “s’inspirer toujours de l’histoire et de l’héritage des lieux qu’ils transforment. Se poster en visionnaires. Refuser le minimalisme, fuir la facilité, aller vers l’inédit”. La mise en cohérence des lieux, leur histoire et leur fonction, les pousse à faire régulièrement appel à l’artisanat d’art sur-mesure pour la réalisation d’éléments architecturaux ou de pièces de mobilier, qu’ils souhaitent à terme développer en série. Du restaurant Klay Saint Sauveur, leur première réalisation, à la boutique Maison Père, au Restaurant BB de la salle de sport Blanche, ou encore La perruche en rooftop du Printemps de l’homme, les lieux conçus par Toro & Liautard sont autant d’invitations à la rêverie, à la contemplation, composés comme des photographies où plane la sensation d’une histoire passée ou en cours, à continuer, intemporelle et éternelle.

 

Toro et liautard architecture intérieure
Toro et Liautard architecture intérieure
Toro et Liautard architecture intérieure
Toro et Liautard architecture intérieure
Toro et Liautard architecture intérieure

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Prix met de Penninghen 2018 en direction artistique

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Yorgo Tloupas prix met de penninghen direction artistique
PRIX MET DE PENNINGHEN

Le Prix Met de Penninghen 2018 en direction artistique a distingué Yorgo Tloupas, diplômé en 1996, fondateur et directeur de l’agence Yorgo & Co.

Depuis son diplôme dédié à un logo et une gamme de snowboards pour Rossignol, Yorgo Tloupas n’a cessé de travailler sur l’image de marque et la conception de logo, de développer ou retravailler des images de marques. On lui doit la conception du magazine Intersection, lancé en 1999 avec ses partenaires britanniques le directeur artistique Dan Ross et le photographe Rankin de Dazed & Confused. Directeur artistique de nombreux magazines (Crash, GQ, Vanity Fair France, Next supplément Libération…), les interventions et les clients de Yorgo Tloupas, certaines des plus grandes marques de mode (Lacoste, Kenzo, Jean-Charles de Castelbajac, Christian Louboutin….) ou de la culture (Gaité Lyrique), sont à l’image de son approche de la direction artistique valorisant les marques en leur offrant une identité la plus cohérente et la plus exigeante.  Au fil de ses nombreuses réalisations en branding, en presse magazine, en design produits, en créations de logos et dessin de caractères typographiques, Yorgo Tloupas a construit un véritable style. En 2006, il a lancé la marque de ski Black Crows qu’il pilote depuis, et dont la ligne 2017-2018 fait dorénavant partie de la collection permanente du Musée des Arts Décoratifs de Paris.

Yorgo Tloupas est enseignant à Penninghen dans le mastère Direction artistique.

Yorgo Tloupas prix met de penninghen direction artistique
Yorgo Tloupas prix met de penninghen direction artistique
Yorgo Tloupas prix met de penninghen direction artistique
Yorgo Tloupas prix met de penninghen direction artistique
Yorgo Tloupas prix met de penninghen direction artistique

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Prix met de Penninghen 2018 en architecture intérieure

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Anouk de Lesparda
PRIX MET DE PENNINGHEN

Le Prix Met de Penninghen 2018 en architecture intérieure a distingué Anouk de Lesparda, diplômée en 2004, fondatrice et directrice de l’agence id.real à Madrid.

À la tête de ce studio “360” qu’elle a entièrement conçu en 2015, Anouk de Lesparda cherche à placer l’Humain au cœur de toute innovation, de toute création, convoquer et réunir l’ensemble des disciplines ayant trait au design (Produit, Digital, Espace et Service). Avec son équipe, elle propose une approche qui privilégie l’intuition, la curiosité dans un contexte d’une haute exigence et d’une grande qualité. Tous les projets s’appuient sur un processus de co-créativité et de relais d’expertises. Conception visuelle, conception de produit, conception de service et architecture intérieure, Id.real fait la synthèse à travers l’analyse des projets. Les applications vont de la conception d’une expérience digitale d'une communauté internationale de voyageurs, à celle d’une marque de jouets modulables, ou encore un espace de formation et de loisirs, l'aménagement intérieur du nouveau siège d'une association dédiée à la beauté, ou celui du siège catalan d'une ONG, et la conception très remarquée d'espaces pour les cinémas Pathé.

Anouk de Lesparda
Anouk de Lesparda
Anouk de Lesparda
Anouk de Lesparda
Anouk de Lesparda

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Roman Cieslewicz

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 Exposition Roman Cieslewicz
pédagogie

Témoin éclairé et critique de la société contemporaine de la seconde moitié du xxe siècle, c’est par l’œil que Roman Cieslewicz a cherché à bousculer les consciences.

Il a construit pendant près de 50 ans dont 35 passés en France, une œuvre éclectique, dans laquelle se sont épanouies de nombreuses formes d’expressions graphiques (affiche, publicité photomontage, édition, illustration), engagée, esthétique, souvent teintée d’humour, d’irrévérence, et d’un second degré parfois cynique mais jamais gratuit ou malveillant. Immense artiste de la scène graphique internationale, issu de l’École de l’Affiche polonaise, c’est en 1963 auprès de Peter Knapp qu’il collabore au tout début de sa carrière française comme maquettiste au magazine ELLE avant d’en devenir le directeur artistique de 1965 à 1969. C’est à la même époque qu’il contribue à la naissance du magazine d’art Opus International, dont il définit la ligne graphique. Parallèlement à ses travaux de commandes pour l’agence de design et de communication MAFIA dont il est le premier directeur artistique, Roman Cieslewicz développe toute une oeuvre sériée : photomontages, collages répétitifs, collages centrés, au service de la publicité, de l’édition ou de la communication pour des institutions culturelles. Membre du groupe Panique, fondé en 1960 notamment par Fernando Arrabal, Roland Topor, Alexandro Jodorowski, Abel Ogier, Olivier O. Olivier, il crée Kamikaze, la revue d’information du groupe en 1976, véritable laboratoire expérimental d’images graphiques et de réflexion “coup de poing”. Auteur d’images iconiques, Roman Cieslewicz a opéré toute sa carrière un travail méticuleux, méthodique et exigeant qu’il n’a pas manqué de transmettre à ses étudiants de Penninghen où il a enseigné la direction artistique pendant plus de 20 ans. Ses enseignements auront formé la main et l’œil de ses élèves, marqués également par l’écho de son ton unique et de son humour légendaire dont les murs de l’école résonnent encore ! Durant les décennies 80 et 90 il a continué de produire des images passées à la postérité de l’art graphique international. Images fortes qui perdurent comme autant d’empreintes rétiniennes, toujours contextualisées, et dont les messages graphiques recèlent une puissance et une efficacité indémodables, parfois irrésistibles, quelquefois violentes, mais certainement intemporelles.

La qualité et la force des images iconiques.

 

Roman Cieslewicz, la fabrique des images, MAD Paris - du 3/05 au 23/09 2018

Roman Cieslewicz - Galerie Semiose, 3 rue Chapon, Paris 3e -  du 16/06 au 28/07 2018

expostion

 Exposition Roman Cieslewicz
 Exposition Roman Cieslewicz
 Exposition Roman Cieslewicz
 Exposition Roman Cieslewicz

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A&M #penninghen10

PICTO_23
illustration
ALMUNI

C’est dans le cadre d’un cours à Penninghen en dessinant ensemble un cerf sur le mur d’un des ateliers que Marine Montagnier et Alexandre Orvain ont eu l’idée d’une collaboration artistique.

Si Alexandre n’a pas poursuivi sa scolarité à Penninghen, Marine en est sortie diplômée en 2010. Passionnés par le dessin au trait, plutôt inspirés par un bestiaire sauvage et des motifs floraux grandioses, ils se définissent avec leur collectif A&M comme “tatoueurs de murs” s’adaptant au lieu ou à la surface qui accueillent leur oeuvre. Ils répondent à diverses commandes comme pour Motto Guzzi, pour qui ils sont intervenus sur une moto vintage et le casque assorti, ou pour Aigle dont ils ont notamment dessiné des motifs floraux pour la fameuse paire de bottes en caoutchouc. Ils s’expriment avant tout dans des proportions plutôt gigantesques comme dans la « Champagne Suite » Dom Pérignon du luxueux New York Palace Hotel. Récemment, le collectif A&M s’est essayé à la fresque en trois dimensions pour Le Printemps Homme boulevard Haussman. Produite par les Habilleurs, avec l’aide d’un concepteur 3D et d’un sculpteur pour modéliser et créer des volumes en résine, la fresque a été construite de formes tridimensionnelles et de dessins dont la lecture varie selon le positionnement du regard.  alexetmarine.fr

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